• <P>Il se passe des choses étranges à la ferme Bartholomi. <CREDIT> D.R.</CREDIT> </P>

    Triste spectacle jeudi dernier à la ferme de la famille Bartholomi à Clermont. Deux veaux sont retrouvés pendus. Un acte barbare qui est loin d’être le premier pour la famille Bartholomi. Depuis 7 ans, Michel, son épouse Yvonne et leurs deux fils ont vu bon nombre de leurs bêtes mutilées ou tuées.

     

    Face à la récurrence de ces actes odieux, la famille Bartholomi a contacté Nicolas Gauder, un électricien-frigoriste originaire de Herbesthal. Celui-ci travaille pour DeLaval, une société spécialisée dans les machines de traite. “ Les deux veaux pendus ce jeudi, je pense c’est un acte humain ”, précise Nicolas Gauder. “ Mais depuis des années, Michel Bartholomi a toutes sortes de problèmes avec ses bêtes. Certaines meurent, d’autres fournissent du lait de mauvaise qualité. Ces 9 derniers mois, j’ai donc étudié les machines de traite de la ferme avec des appareils spécifiques. J’ai aussi étudié les charges électriques présentes dans l’air avec mes appareils de mesure. Et j’ai remarqué que les pertes électriques étaient énormes. ”

    Comment l’électricité peut-elle agir ainsi sur les animaux? “ Nous avons fait une série de photos des endroits où des bêtes avaient été tuées ou mutilées. Et sur ces clichés, nous observons souvent des boules grises. Il semble que ce soit des boules d’électricité. Dans ces boules se trouvent une série d’épingles, comme des pointes métalliques. Une fois qu’il y en a trop, nous pensons qu’elles peuvent créer une décharge électrique, comme la foudre, et attaquer une bête.

    Et ce phénomène Nicolas Gauder l’a déjà observé en direct, tout comme Christian Massoz. Ce radiesthésiste travaille depuis des mois avec Nicolas Gauder pour tenter de trouver une explication aux phénomènes dont est victime la famille Bartholomi.

    En février-mars 2011, nous étions dans la prairie lorsque nous avons vu une vache attaquée par cette électricité ”, raconte Christian Massoz. “ Il n’y avait personne autour d’elle mais elle se défendait. Lorsqu’elle s’est enfin calmée, elle portait comme des coups de laser et avait les poils arrachés. Elle n’a pas survécu à cette attaque.

    magie noire

    Des exemples comme celui-là, les deux hommes en ont beaucoup car ils ont passé de nombreux jours à la ferme des Bartholomi. “ Un jour, un veau a perdu toutes ses dents dans la même prairie où la vache avait été attaquée un peu plus tôt. Ce n’est pas un acte humain ”, assure Nicolas Gauder.

    Mais les deux hommes n’ont pas fait qu’étudier le phénomène, ils ont aussi apporté des solutions. “ On a réglé une grosse partie de ces problèmes d’électricité en localisant les fuites et en rajoutant des terres à la bonne place ”, poursuit Nicolas Gauder. “ Nous avons également envoyé des courriers et des photos à Electrabel. Là une personne nous a pris au sérieux et est venue sur place avec une équipe. Ils nous ont aidés à réaliser certains changements.

    Depuis, beaucoup de problèmes ont disparu, ce qui prouve, selon Nicolas Gauder et Christian Massoz, que l’électricité était en cause. Mais les deux hommes continuent de se rendre à la ferme régulièrement.

    Car il semble que la famille Bartholomi soit également victime de vandales et même peut-être de magie noire. À ce jour, de nombreux phénomènes restent en effet inexpliqués.

    Il se passe des choses étranges à la ferme Bartholomi. D.R.

    source:http://archives.sudpresse.be/thimister-clermont-veaux-pendus-dans-une-ferme-la_t-20111107-H3GCKA.html?queryand=thimister+ferme&when=-1&begYear=2011&begMonth=11&begDay=9&endYear=2011&endMonth=11&endDay=10&firstHit=0&by=10&sort=datedesc&pos=2&all=651&nav=1

     


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    Témoins de phénomènes paranormaux au cours des derniers mois dans leur maison de Bois-des-

     

    Filion, dans les Laurentides, Philippe, Kim et Michèle ont appelé en renfort des chasseurs de

     

    fantôme.

     

    « Il se passe des choses vraiment étranges la nuit dans cette maison, a expliqué Kim. On se fait

     

    constamment réveiller par une femme qui n’arrête pas de pleurer. Il y a aussi un homme qui semble

     

    frustré. Il claque les portes et frappe dans les murs. »

     

    « La nuit, il court dans les escaliers avant de s’arrêter brusquement en face de la porte de ma

     

    chambre. La nuit dernière, il a fait ça trois fois de suite avant d’entrer. J’ai vu la porte s’ouvrir toute

     

    seule », a ajouté Michèle.

     

    Expliquant qu’il y a souvent une odeur d’oeuf pourri dans la maison, les filles ont raconté le jour où,

     

    après avoir entendu un bruit sourd dans la cuisine, elles ont découvert l’horloge en pièces détachées

     

    sur le sol. « Parfois, tu crois que c’est dans ta tête que ça se passe, mais ça, c’est une preuve que

     

    non», a expliqué Kim.

     

    La jeune femme, qui croit vraiment qu’il y a des esprits dans sa maison, a également raconté que

     

    son chien a une peur bleue d’aller au sous-sol. « Ça se sent ces choses-là. L’atmosphère est vraiment

     

    lourde en bas. Quand tu es tranquillement assise sur le divan et que tu sens un courant d’air froid, ça

     

    http://www.infos-paranormal.net/

     

    fait peur. »

     

    Le trio n’en est toutefois pas à sa première expérience paranormale. L’année dernière, l’appartement

     

    qu’il louait dans le quartier Chomedey, à Laval, était également hanté, selon eux. « Il s’y passait

     

    aussi des tas de trucs étranges et nous sommes partis parce que c’était devenu invivable.

     

    Mais ici, ce n’est pas la même chose. On est certains que ce ne sont pas les mêmes esprits. Mais

     

    c’est vraiment terrifiant de vivre ça encore une fois et c’est pour ça qu’on a rappelé M.E.S

     

    Investigation. Pour qu’ils nous aident à en finir et qu’on puisse enfin dormir en paix », a-t-elle

     

    confié.

     

    Pour les chasseurs de fantômes, ça demande beaucoup de courage et de détermination pour faire

     

    appel à eux. « La plupart des gens sont sceptiques quant à l’existence des fantômes. On enferme

     

    parfois des gens pour moins que ça, en pensant qu’ils souffrent de problèmes mentaux », a expliqué

     

    Paul, affirmant qu’ils se font discrets et professionnels lors de leur investigation.

     

    Source :

     

    Le Journal de Québec

      

     

     

     

     


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